LES LIVRES ÉCRITS PAR SOPHIE DAOÛT


Le dernier livre de Sophie (février 2015)


Un guide précieux pour les parents

Impossible de parler de la drogue avec des adolescents...

Ça n'arrive qu'aux enfants des autres... Le cannabis ?

Une drogue douce...

Les parents n'y peuvent rien...
Pour avoir rencontré des centaines de jeunes, de la sixième aux BTS en passant par les BEP et les Terminales, Sophie Daoût sait bien que tout cela est faux.
Alors, elle parle aux jeunes qui l'écoutent, parce qu'elle les aime.

Elle parle aux parents qui l'écoutent, parce qu'elle a été cette maman qui n'a pas su débusquer à temps l'ennemi qui allait emporter son fils.

Elle parle aux chefs d'établissements, aux éducateurs, aux journalistes qui l'écoutent, parce qu'elle ose la vérité.
Il fallait aller plus loin, car nul n'est à l'abri. Il fallait un guide pour tous, car ces jeunes en danger sont nos enfants, car cette société est la nôtre et son avenir, c'est notre avenir. Il s'agit de renouer un dialogue, sans tabou ni langue de bois. Il s'agit d'écouter des histoires vraies, des histoires qui se terminent mal et d'autres qui finissent bien. Il s'agit de retrouver dignité, confiance et joie de vivre, il s'agit de sortir de l'enfer de la dépendance avant qu'il ne soit trop tard.
Institutrice puis professeur et conseillère d'orientation-psychologue, Sophie Daoût, mère de trois enfants, engagée activement dans l'action de prévention contre la drogue dans les établissements scolaires et auprès des parents. Une association de parents, Pour une Jeunesse sans drogue, s'est créée autour d'elle.

Un guide à trouver aux éditions du jubilé:

http://www.editionsdujubile.com/index.php?op=3&livre=3531621


  Les « chemins » dont je parle, sont ceux de mon fils Lionel que la drogue a fini par tuer . Je les parcours à nouveau pour aller à sa rencontre et pour retrouver l'enfant merveilleux qu'il fut.


Sophie DAOUT, tour à tour institutrice puis professeur et enfin conseillère d'orientation-psychologue, a consacré sa vie aux enfants et adolescents. C'est dans ce cadre qu'elle s'occupe de l'association comme une meneuse, le problème de la drogue étant un sujet auquel elle a été personnellement confrontée et qu'elle prend particulièrement à coeur. Voilà pourquoi elle mène une action de tous les instants en allant à la rencontre des jeunes dans les établissements scolaires, les aumoneries, etc.. Forte d'une grande expérience elle a déjà ecrit huit livres que l'on vous présente par la suite.



De lignes tracées, de réflexions posées,

Sophie Daout nous embarque

dans l'univers de trois femmes.

Trois personnages pour comprendre les chemins

du faire avant d'arriver à Être.

Un train train quotidien entraîne chacune

dans une solitude.

Deux femmes qui se croisent,

l'une d'entre elle qui se met à raconter par une correspondance soutenue toutes ses difficultés à communiquer avec sa fille.

Face aux problèmes de société qu'elle soulève,

Sophie Daout crée le lien,

les passerelles pour s'en sortir, pour dire à l'autre.

Sans prendre la place des personnages,

tout en laissant le lecteur voyager entre les lignes,

par une écriture vivante et claire, où le lecteur captivé par l'intensité de l'histoire, suit lettre à lettre le mal être s'installer, Sophie Daout nous conduit vers l'inéluctable, nous engager dans une correspondance, comme elle engage son troisième personnage dans l'écriture pour à son tour se sortir de l'impasse. Appel vibrant à trouver un moyen de communication pour que chacun reconnaisse sa place et celle de l'autre, ce roman à "lettres closes" sent le bon du jour". Écrire pour survivre, écrire pour dire, un lien à la portée de tous.


Et si c'était la notre de famille sur qui s'abat le malheur?

     Ludovic, quinze ans, se drogue. Alors, du fond de sa détresse, sa maman s'interroge sur elle-même, sur les siens, sur son divorce mal supporté par l'enfant fragile et vulnérable, sur son remariage. Que cela ne nous rassure pas! C'est l'éclatement des familles, ce n'est plus l'exception. Vous en connaissez vous des adolescents qui ne soient pas fragiles ni vulnérables

et qui n'aient pas à apprendre le partage?

     Ce qui est nouveau, c'est l'impunité dont jouissent les marchands de mort qui rôdent à la porte des lycées à l'affût de nos enfants fragiles et vulnérables. Ces crises d'adolescence, passagères, vieilles comme le monde, voici qu'elles sombrent aujourd'hui dans une tragédie qui peut conduire jusqu'à l'overdose et au Sida.

     C'est tout le mérite du livre de nous dire que le drame bat à notre porte et que nos enfants, chair de notre chair, sont menacés. Cela n'arrive pas, ça n'arrive plus qu'aux autres. Notre enfant peut-être...

     A lire avant qu'il ne soit trop tard...


http://www.editionsdujubile.com/index.php?op=3&livre=3586583

 


 

La drogue s'infiltre à la sortie des lycées, envahit les lieux publics et, peu à peu, nous cerne. Un jour, par-delà les statistiques que nous écoutions distraitement, elle surgit, se découvre, menaçante, déjà maîtresse de la place. Nous pensions être à l'abri et nous vivions à côté d'elle. Alors, il faut tenter de faire face, tenter de démêler lucidement les vrais appels à l'aide des mensonges sans cesse renouvelés, se prémunir contre les délinquances multiples, prendre acte de la perte des valeurs.

     Ce journal est celui de Christine, une victime de la drogue, pitoyable, courageuse, tiraillée prisonnière, elle livre tout à son journal intime.

     Ce journal pourrait être celui de milliers de jeunes.

C'est pour les aider, pour que nos yeux, ceux des parents, des éducateurs, des jeunes eux-mêmes s'ouvrent, que Dolorès la mère se Christine,

a accepté que Sophie Daoût le publie, l'explique, le commente.


http://www.editionsdujubile.com/index.php?op=3&livre=3500097


 


 

Un livre qui parle de la drogue, du divorce, du suicide, de la dépression... Un livre fraternel et vrai, parfois poignant, souvent proche, un livre cœur à cœur. L'auteur partage sans complaisance mais aussi sans détour ces expériences de la vie et de la mort que nous côtoyons tous en ce siècle agité, sans en parler vraiment.

     Partant d'un témoignage personnel, Sophie Daoût conduit le lecteur sur le sentier de la réconciliation avec soi et les autres sans rien cacher de ses périodes de détresse ne de ses moments de bonheur qui, se rejoignant peu à peu l'ont conduite à retrouver équilibre et joie de vivre.

     Après le succès de Lâche ta drogue et tiens bon, la suite d'une vie comme tant d'autres même si, ici, le drame en a tissé les jours. Mais qui peut se vanter de n'avoir pas marché au bord de ce précipice où sombrent si souvent tant de destins. C'est pour eux, pour nous, pour sortir de la solitude que Sophie Daoût partage une histoire qui aurait pu être la nôtre, témoignant qu'il y a toujours de l'espérance. Parce que certains partages sont au-delà des mots de chaque jour, l'auteur a voulu donner sa place au poème.


http://www.editionsdujubile.com/index.php?op=3&livre=3550811



Enceinte de quatre mois, Émilie perd son enfant qu'elle attendait dans le joie. A la suite de cette épreuve, elle éprouve le besoin de se pencher sur son passé. Elle pressent que les sensations de mal-être dont elle souffre ont leurs racines dans son enfance: Emilie a vécu au sein d'une famille où l'essentiel est tu; les mots, qu'elle et son frère ne peuvent exprimer, se transforment en maux.

Le silence génère une angoisse qui va crescendo:

son frère se suicide, et elle devient boulimique...

     Son corps va tellement se déformer qu'elle finit par se couper totalement de son entourage. Sa vie professionnelle et familiale sera marquée par ce handicap qu'elle va finalement surmonter: une photo d'elle prise par une amie lors d'une surprise-partie, provoquera le déclic nécessaire qui fera réagir et lui donnera le courage de réparer les dégâts causés sur elle-même


 


 

Retranscrire les vicissitudes du monde moderne par une poésie inspirée d'une vie tumultueuse et marquée par le destin, telle est la gageure réussie par Sophie Daoût.

     Le regard est mais malheureusement lucide,

ici il n'est point question d'évasion afin de s'extraire d'une réalité aussi implacable soit-elle.

     C'est une prise de conscience qui ne laissera personne indifférent et qui permettra peut-être à autrui de comprendre derrière la façade du quotidien se cachent parfois des gens en détresse.

 


 

Livre de conte écrit à partir d'un travail mené avec la classe de CE1-CE2 de La Mézière, avec la collaboration de la maîtresse, Odile Schreiber.

     Sophie Daoût, écrivain et poète notamment pour la jeunesse, a, par l'entremise d'Internet et de l'enseignante Odile Schreiber, noué des contacts avec les élèves de CE1_CE2de l'école publique Pierre Jakez-Hélias. Tout a commencé à la rentrée de 2003. C'est alors qu'a débuté une correspondance par e.mails. Les enfants ont reçu quantité de poèmes inédits, et puis l'auteur leur a dédié des comptines personnalisées. Une rencontre s'en est suivie. Les enfants et l'écrivain ont eu la joie de pouvoir communiquer pendant une heure.

     Sophie Daoût, qui habite Fréjus, avait fait le voyage afin de rencontrer les enfants et la maîtresse en Bretagne. "Que l'histoire commence" est son septième livre.